Rapport de Stage de Master IPGP
Author:
G. Moguilny
Last Updated:
7 months ago
License:
Creative Commons CC BY 4.0
Abstract:
Gabarit pour le rapport des masters IPGP
\begin
Discover why 18 million people worldwide trust Overleaf with their work.
\begin
Discover why 18 million people worldwide trust Overleaf with their work.
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% Exemple de rapport de master
% Version originale : A. Tarantola, Octobre 2004
% Version modifiée : A. Fournier et G. Moguilny, Mars 2012...Novembre 2022
% % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % % %
\documentclass{ipgpmaster}
%
% Pour saisir directement les lettres accentuées :
% \usepackage[applemac]{inputenc} % pour utilisateurs mac
% \usepackage[ansinew]{inputenc} % pour Windows ANSI
% \usepackage[latin1]{inputenc} % pour Unix Latin1
\usepackage[T1]{fontenc}
\usepackage{amsmath}
\begin{document}
\checkyears
\vspace*{5mm}
%\setkeys{Gin}{draft} % images non affichées
\setkeys{Gin}{draft=false} % images affichées
%\linenumbers % Numerotation des lignes pour relecture
%Select here the language
\selectlanguage{french}
%\selectlanguage{english}
\def\author{Albert Tarantola}
\def\title{Le Rapport de Stage de Master}
\def\shorttitle{Rapport de stage}
\def\unit{IPGP}
\def\team{Géomagnétisme \& Sismologie}
\def\spe{Géophysique ou autre} % Parcours
\def\supervisor{A. Fournier \& G. Moguilny}
\def\mydate{\today}
\def\keywords{Sciences de la Terre, master, rapport, conseils}
\Entete
\begin{abstract}
Le stage de recherche du master est essentiel dans la formation d'un scientifique,
car il permet un premier contact avec le monde de la recherche.
La rédaction du rapport est une composante importante du stage.
Il doit être rédigé en suivant le style littéraire habituel des articles
scientifiques, avec ses usages bien codifiés.
Les différentes parties du rapport :
\emph{Résumé, Introduction, Résultats, Discussion, Conclusion, Remerciements,
Références bibliographiques,\/} et \emph{Annexes,\/}
ont chacune des objectifs bien dé\-ter\-mi\-nés.
On doit chercher la perfection dans la forme.
\end{abstract}
\newpage
\tableofcontents
\newpage
\section{Introduction}
Le stage de recherche du master permet aux étudiants d'apprendre le métier
de chercheur, en participant au travail de recherche d'un laboratoire.
Le travail d'un chercheur ressemble beaucoup à celui d'un journaliste :
il faut d'abord avoir l'idée d'un sujet d'enquête, ensuite, il faut que
l'enquête fournisse des informations et, enfin, il faut la publier.
Une grande quantité d'enquêtes journalistiques, et de recherches
scientifiques, sont restées ignorées parce que leur publication a été
bâclée.
Rédiger un rapport scientifique prend beaucoup de temps. Après un
``premier jet'', il faut souvent tout réécrire.
Lorsque la forme du rapport semble acceptable, il faut demander l'avis
de ses collègues, y apporter des modifications (souvent dramatiques),
et itérer le processus
jusqu'à ce qu'un document de lecture facile ait été produit. Il~existe
un \emph{style littéraire\/} très strict que les jeunes chercheurs ont parfois
du mal à accepter. Si l'originalité est indispensable pour le sujet de
recherche, elle est simplement distrayante dans la publication,
où on ne demande que de la perfection dans la pré\-sen\-ta\-tion.
\section{Les différentes parties d'un article}
\subsection{Le résumé}
Partie très importante du rapport.
Il doit permettre de se faire une idée précise des résultats.
Le style est identique à celui de l'article, simplement en résumé.
Oubliez que le résumé est publié au début de l'article et rédigez
comme s'il devait être la seule chose qui existe : ne faites pas
référence à l'article (si vous disiez ``nous montrons que\dots''
vous seriez en train de le faire).
Ne parlez pas de ``certaines'' hypothèses ou résultats ; dites lesquels
ou lesquelles (ou n'en parlez pas si ce n'est pas important). Il est difficile de véhiculer beaucoup
d'information en peu de lignes, mais c'est indispensable.
\subsection{L'introduction}
Sert à situer le contexte du travail. Pourquoi est-ce intéressant ?
Qui a travaillé avant sur ce sujet? Quelle démarche avons-nous suivi ?
Il faut aussi dans l'introduction expliquer l'organisation de l'article
(après quelques rappels de la théorie de base, l'instrument
utilisé est décrit dans la section 3.2\dots), sans que cela
devienne une ``table des matières''.
\subsection{La méthodologie, l'analyse, la discussion}
Évidemment, la partie la plus importante dans le fond, très difficile
à écrire. C'est ici que la démarche scientifique doit être
scrupuleusement suivie. De la rigueur, de la rigueur, et de la clarté.
\subsection{Les conclusions}
Les conclusions doivent déjà apparaître dans le résumé et le
corps de l'article. Ici, en utilisant un langage technique ---permis par la
lecture de l'ensemble du rapport,--- on doit oublier les détails, faire ressortir l'essentiel et \emph{ouvrir des perspectives\/}.
\subsection{Les références bibliographiques}
Il existe plusieurs styles pour les références bibliographiques.
Il en existe même trop : raison de plus pour ne pas en inventer davantage.
Pour le rapport de stage du master, suivez le style suggéré plus loin
dans cet article.
Notez que l'article de \cite{cao1990simultaneous} contient, dans
la liste de références bi\-blio\-gra\-phiques, le nom explicite de tous
les auteurs.
L'article de \cite{crase1992nonlinear} est sorti.
Il y a aussi un article qui n'a été que
soumis \citep{mosegaardsoumis}.
En fait, si
vous utilisez \LaTeX, le formattage des références peut être fait
automatiquement et vous n'avez pas à vous occuper du style
(quand vous aurez besoin d'aide, adressez-vous à Geneviève Moguilny,
au troisième étage). Pour plus de précisions sur
\textsc{Bib}\TeX{} et \texttt{natbib},
consultez également la partie~\ref{sec:natbib}.
Lors de votre présentation orale, souvenez-vous que la locution latine
``et al.'' est réservée à l'écrit : on ne dit pas ``Cao et al.'',
mais ``Cao et collaborateurs''.
\subsection{Les annexes}
Un article doit être très lisible. Pour cela, il est utile de mettre en
annexe toute démonstration ou discussion un peu lourde qui peut
être distrayante. Il est préférable de n'écrire dans l'article,
dans un langage simple, que la trame des conclusions, qui seront justifiées
dans le détail seulement dans les annexes.
\section{Quelques remarques d'ordre général}
L'information essentielle du rapport doit se trouver à {\bfseries quatre} endroits
différents : dans le résumé, dans le corps de l'article, dans les
légendes des figures, et dans la conclusion.
Il faut lire beaucoup d'articles scientifiques. C'est la seule façon
de saisir le \emph{style littéraire\/} d'un rapport scientifique.
N'envisagez pas d'écrire votre rapport sans une bonne connaissance des
revues scientifiques importantes (\emph{Nature, Science, Journal of
Geo\-phy\-si\-cal Research, Geophysical Journal International, Geophysics,
Physics of the Earth and Planetary Interiors, Earth and Planetary Science
Letters\dots\/}). Le style d'un rapport scientifique n'est pas celui des
revues de vulgarisation (\emph{Science et Vie, La Recherche\dots\/})
qui, par ailleurs, peuvent être excellentes.
De plus, pour ce rapport, au format A4 :
\begin{itemize}
\item la première page doit contenir le résumé de 20 à 25 lignes,
\item la deuxième page doit contenir le Sommaire,
\item le nombre de pages ne doit pas excéder 30,
\item les pages doivent être numérotées en haut à droite/gauche,
\item le nombre de pages doit être pair (si les rapports devaient être concaténés pour impression).
\end{itemize}
\subsection{Les figures}
Si possible, les points clefs de l'article doivent être illustrés par une
figure (celle qui vaut plus que 100~mots).
En utilisant des logiciels habituels de dessin (e.g., {\sl Illustrator\/},
{\sl gimp\/}),
il est possible de produire des figures propres qui peuvent s'intégrer
dans l'article en utilisant un des \textit{packages\/} existants
comme \texttt{graphicx}.
Essayez, dans la mesure du possible, de produire des figures en format
\texttt{pdf} (\textit{Portable Document Format\/}).
Il n'est pas interdit d'utiliser une figure extraite d'un livre ou d'un
article (en la passant au scanner), mais il ne faut pas oublier d'en donner
la référence exacte.
%Pendant que le rapport est en cours d'élaboration, il peut être commode
%de situer toutes les figures à la fin du texte (\begin{verbatim}
%\usepackage{endfloat} \end{verbatim}).
%Mais
Dans la forme finale du rapport, les figures doivent être à leur place.
Les légendes des figures doivent être assez explicites pour permettre
de comprendre le travail, même si on ne lit que le résumé et les
légendes des figures.
L'inclusion d'une image simple est montrée sur la figure \ref{logo},
et un positionement plus sophistiqué sur les figures \ref{gmt} à \ref{draftimage}.
\begin{figure}
\centerline{\includegraphics[width=0.4\linewidth]{LogoIPGPUPC}}
\caption{Logo de l'IPGP depuis juin 2022.}
\label{logo}
\end{figure}
\begin{minipage}{\linewidth}
Deux erreurs sont très communes
\begin{enumerate}
\item Des figures inutilement grandes : la résolution d'une figure
est plus importante que la taille et souvent une même figure est
plus ``sympathique'' en plus petit.
\item Des figures tournées de 90$^\circ$ qui forcent le lecteur à
tourner la page, pour l'utiliser en mode ``paysage''.
C'est très rare qu'il existe des bonnes raisons à cela.
\end{enumerate}
\end{minipage}
\begin{figure}
\begin{minipage}[b]{0.48\linewidth}
\includegraphics[width=\linewidth]{gmt1}
\caption{Image produite par \href{http://gmt.soest.hawaii.edu/}{GMT}.}
\label{gmt}
\end{minipage}
\hfill
\begin{minipage}[b]{0.48\linewidth}
\fboxsep 0pt
\centerline{\fbox{\includegraphics[bb=177 146 200 161,clip=,width=0.75\linewidth]{gmt1}}}
\caption{Zoom sur la Fig~\ref{gmt}.}
\label{zoomimage}
\end{minipage}
\vspace*{5mm}
\begin{minipage}{0.48\linewidth}
\includegraphics[width=\linewidth,draft]{gmt1}
\end{minipage}
\hfill
\begin{minipage}[b]{0.48\linewidth}
\caption{Comme la Fig~\ref{gmt}, mais en \texttt{draft}.}
\label{draftimage}
\end{minipage}
\end{figure}
\subsection{Les équations}
Écrivons quelques lignes de texte technique pour illustrer la façon
normale d'écrire des équations.
Soit un milieu parfaitement élastique, et soient
\ $ \sigma^{ij} ({\bf x},t) $ \
et
\ $ \varepsilon^{ij} ({\bf x},t) $ \
respectivement les composantes
\ $ \{i,j\} $ \
de la contrainte et de la déformation au point
\ $ {\bf x} $ \
et à l'instant
\ $ t $~.
Pour des petites déformations, nous pouvons écrire, au premier ordre,
\begin{equation}
\sigma^{ij} ({\bf x},t)
\ = \
\sigma_0^{ij} ({\bf x},t)
+
c_0^{ijkl} ({\bf x})
\,
\varepsilon^{kl} ({\bf x},t)
\ ,
\label{eq:loiHooke}
\end{equation}
où le terme
\ $ \sigma_0^{ij} ({\bf x},t) $ \
est appelé \emph{précontrainte\/}, et où les coefficients
\ $ c_0^{ijkl} ({\bf x}) $ \
sont les \emph{constantes élastiques\/}.
L'équation~(\ref{eq:loiHooke}) représente la \emph{ Loi de Hooke\/}.
Maintenant, que représente l'équation
\begin{equation}
E({\bf x},t)
\ = \
\frac{1}{2}
\,
\sigma^{ij} ({\bf x},t)
\,
\varepsilon^{ij} ({\bf x},t)
\ ?
\label{eq:energydensity}
\end{equation}
Peu importe en vérité, car elle est hors sujet.
Par contre, en utilisant la loi de Hooke~(\ref{eq:loiHooke}) et le principe
d'équivalence entre la masse inerte et la masse pesante,
on démontre sans peine l'\emph{équation des ondes élastiques\/} :
\begin{equation}
\rho \
\frac{\partial^2 u^i}{\partial t^2}
-
\frac{\partial}{\partial x^j}
\left(
c_0^{ijkl}
\,
\frac{\partial u^k}{\partial x^l}
\right)
\ = \
0
\ .
\label{eq:ondes}
\end{equation}
La discussion ci-dessus illustre quelques unes des règles à utiliser dans
un texte contenant des équations :
\begin{itemize}
\item Il faut introduire dans le texte {\bfseries toutes} les variables.
\item Il faut numéroter {\bfseries toutes} les équations.
\item Dans la mesure du possible, il faut donne un \emph{nom\/} à
chaque équation, et, dans la suite du texte, dire
``l'équation des ondes~(\ref{eq:ondes})''
au lieu de ``l'équation~(\ref{eq:ondes})''.
\item Il faut \emph{ponctuer\/} les équations, car elles font
partie du texte. Ici, non seulement nous avons des équations
se terminant par des virgules et des points, mais même
une équation se terminant par un point d'interrogation.
\item N'abusez pas du ``~:~'' pour arriver aux équations :
dans les exemples ci-dessus, seulement une équation le permet.
\end{itemize}
\subsection{La typographie}
Soignez l'orthographe. Évitez même les erreurs comme celle de ne pas accentuer
les majuscules (cette phrase commence par une majuscule accentuée, et pour vous
con\-vain\-cre, regardez les couvertures de livres ou les titres des
journaux, ou vérifiez dans votre dictionnaire que l'on écrit bien
États-Unis\dots).
\subsection{\LaTeX, Word, ou quoi d'autre?}
Tout logiciel de préparation de documents peut être utilisé pour produire
votre rapport. \LaTeX \ est bien adapté à la publication scientifique,
avec ses notations ma\-thé\-ma\-ti\-ques. Mais, surtout, il est devenu le
standard pour la publication technique.
Pour votre rapport vous devrez utiliser exactement le style illustré par ce document.
Si vous utilisez \LaTeX, vous n'aurez rien de spécial à faire
(ni à définir les fontes, ni les espaces entre sections, etc.), car
ceci n'est qu'une adaptation mineure du style ``article'' de \LaTeX.
Je déconseille de choisir un autre logiciel, moins standard ou moins technique.
Si vous \^{e}tes obligés de le faire, reproduisez exactement le style de ce
document. Pensez à bien utiliser des caractères en ``11~points''
\footnote{Au passage, pour éviter de couper entre un nombre et son unité,
utiliser le tilde (blanc insécable) : \texttt{11$\sim$points}.}
pour le texte principal (la taille de ces caractères).
\subsection{Les erreurs courantes à éviter}
Une erreur courante des auteurs inexpérimentés est de ne pas donner assez
d'importance aux références bibliographiques : références manquantes,
références citées dans le texte, mais absentes de la liste finale, etc.
Souvent aussi, la liste des références ne suit pas un des formats habituels,
ou il y manque un des éléments (année, page, etc.).
Souvent les figures sont trop grandes, ou bien elles dépassent des marges de
l'article.
Évitez d'obliger le lecteur à tourner la revue : il est rare qu'une figure
doive absolument avoir un format paysage sur une page entière.
Parfois il y a une multiplicité de légendes : on écrit des phrases dans la
figure elle-même.
Il arrive que le résumé ou l'introduction manquent, ou que l'on confonde
leurs rôles respectifs.
Si un document a un seul auteur, on ne doit jamais utiliser le ``nous'',
qui est réservé au Pape. Le ``je'' doit être utilisé dans des très
rares occasions. Soyez neutre : ``il'' est possible de montrer que\dots
Une grave erreur consiste à sous-estimer le temps qu'il faut pour
produire un rapport sous sa forme finale : commencez à rédiger dès la mi-mai.
Même si vos recherches sont loin d'avoir abouti, vous pouvez déjà commencer
à mettre la bibliographie ---\,et, surtout, vos idées\,--- en place.
Autres erreurs communes :
\begin{itemize}
\item utiliser le retour chariot (\verb"\\") pour finir un paragraphe,
\item essayer de forcer le placement des objets flottants comme les figures et les tables (option \verb"[h]"),
\item continuer à saisir du texte, sans corriger les erreurs de compilations, et ne pas regarder les causes d'erreurs dans les fichiers log.
\end{itemize}
\subsection{Utilisation de \texttt{natbib} et \texttt{bibtex} pour les références}
\label{sec:natbib}
Il est impératif que vous preniez l'habitude d'utiliser \textsc{Bib}\TeX{} (ou \textsc{Bib}\LaTeX{})
en conjonction avec le \textit{package\/} \texttt{natbib} pour gérer votre
base de données de références et son adressage dans votre texte. L'utilisation de \textsc{Bib}\TeX{}
est
détaillée dans le texte de \cite{moguilny2021introduction}. Ne pas oublier d'ajouter les DOI
(\textit{Digital Object Identifier}) dans les entrées de la base de données \texttt{.bib}.
Quelques emplois possibles :
\verb"\cite{fournier2010introduction}" donnera \cite{fournier2010introduction} \\
\verb"\citep{fournier2010introduction}" donnera \citep{fournier2010introduction} \\
\verb"\citep[voir par exemple][\S 2]{fournier2010introduction}" donnera \\
\hspace*{1cm}\citep[voir par exemple][\S 2]{fournier2010introduction} \\
\verb"\citeauthor{fournier2010introduction}" donnera \citeauthor{fournier2010introduction} \\
\verb"\citeyear{fournier2010introduction}" donnera \citeyear{fournier2010introduction}
La documentation complète de \texttt{natbib} en français est disponible à l'adresse \\
\href{http://mirrors.ircam.fr/pub/CTAN/info/translations/natbib/fr/f-natbib.pdf}
{http://mirrors.ircam.fr/pub/CTAN/info/translations/natbib/fr/f-natbib.pdf}
\section{Conclusion}
Écrire un rapport de stage de master n'est pas aisé.
Cela prend du temps, et les difficultés sont souvent sous-estimées.
Mais cette rédaction est une composante essentielle du stage de recherche.
Le \emph{style\/} d'un rapport technique est bien codifié, et laisse peu de place
à l'originalité, qui, par contre, aura libre cours dans le choix du sujet
ou des méthodes de recherche. On demande une grande \emph{ clarté\/} et une grande
\emph{concision\/} dans la présentation.
Pour cela, il faut s'y prendre avec du temps : un document écrit se travaille
beaucoup avant de le divulguer.
\section{Remerciements}
Généralement, vous serez le seul signataire du rapport ---\,et, donc, le seul
responsable\,---.
Votre directeur de stage n'apparaîtra que dans cette section
``\emph{Remerciements\/}''.
Si votre rapport contient des résultats scientifiques, veillez à faire justice,
et faire apparaître ici les apports respectifs de votre directeur de stage
et de vous même.
Un style typique pour cette section est le suivant :
\paragraph*{Remerciements.} Ce stage de master a été effectué dans le
Laboratoire de Géo\-pan\-tou\-flis\-me de
l'Institut de Physique du Globe de Paris, sous la direction de Napoléon Bonaparte,
que je voudrais remercier pour la qualité du café qu'il sait faire.
Émile Zola m'a aidé avec le logiciel \LaTeX \ de préparation de documents.
Le logiciel de dessin utilisé appartient à l'Université de Cochabamba.
Cette recherche a été menée à bien grâce à une bourse du
Ministère des Anciens Ministres, et le microscope aquatique utilisé a
été financé par le Centre National de la Recherche Parapsychologique.
\newpage
\addcontentsline{toc}{section}{Références}
\bibliography{master_AT}
%\nocite{*} % pour afficher toutes les entrées (même celles non citées)
% de la base de données bibliographique
\newpage
\appendix % (Annexes) si nécessaire / if necessary
\section{Annexes}
\subsection{Précisions sur un certain point}
\subsection{Précisions sur un autre point}
\cleardoublepage
\end{document}